Encoder la musique, autrement dit la transformer en données, ouvre des perspectives extrêmement intéressantes en matière de visualisation. En partant des données brutes, il devient aisé d’en sélectionner un sous-ensemble et de le représenter graphiquement d’une manière qui soit parlante. Ci contre, on analyse l’un des motets à quatre voix de Philippe de Vitry, O canenda/Rex quem metrorum sous l’angle du débit musical, dont les variations au cours du temps sont mesurées pour chacune des quatre voix.